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Contexte Mise en contexte et informations préliminaires
La visualisation Description et analyse de la représentation visuelle
Observations Constats remarquables issus de la visualisation
Limitations Éléments ou données non inclus dans la visualisation
Les données Sources et détails concernant les données utilisées
Réflexions Réflexions personnelles et considérations sur le sujet traité
Contexte
L'indicateur ODD 6 exige l'accès à l'eau potable "sécurisée", définie comme de l'eau provenant d'une source améliorée accessible sur place, au besoin, et exempte de contamination fécale et chimique prioritaire. L'eau de base, en revanche, ne répond pas à cette norme et comprend l'eau prélevée à une source améliorée qui nécessite un trajet aller-retour ne dépassant pas 30 minutes, y compris la file d'attente. Alors que la plupart des pays africains manquent de valeurs nationales pour le progrès en matière d'accès "sécurisé", ils ont généralement des données sur les services répondant aux niveaux "de base".
La visualisation
La visualisation examine l'accès à l'eau potable en Afrique, se concentrant sur 15 pays africains ayant le moins accès à de l'eau potable aménagée de base en 2020. À l'aide de verres à boire, le visuel illustre les quantités d'eau disponibles par rapport à d'autres pays en Afrique.
Observations
Cinq pays - la République centrafricaine, le Soudan du Sud, le Tchad, le Niger et le Burkina Faso - ont moins de 50 % de couverture pour le service de base. Cela signifie qu'au moins 39 millions de personnes dans ces cinq pays n'avaient pas accès à un service d'eau potable de base en 2020.
Limitations
Le visuel manque de données sur l'eau potable "sécurisée" pour plusieurs pays africains, ce qui affecte l'exhaustivité de la représentation visuelle. Malgré les valeurs fournies pour l'eau "sécurisée" pour la RD Congo (19 %), l'Éthiopie (12,6 %), la République centrafricaine (6,2 %) et le Tchad (5,6 %), elles ont été exclues du visuel en raison de la difficulté de les comparer avec d'autres pays dont les données sont manquantes. Les valeurs pour l'Érythrée et la Guinée équatoriale représentent un service de base en 2016 et 2017, respectivement.
Les Données
Les données utilisées dans ce visuel sont issues de l'Institut pour l'environnement et la santé de l'Université des Nations Unies (UNU INWEH), offrant une évaluation quantitative globale préliminaire de la sécurité de l'eau pour 7,78 milliards de personnes dans 186 pays, y compris tous les pays africains en 2020. L'évaluation de la sécurité mondiale de l'eau 2023 peut être consultée ici.
Réflexions
L'accès à une quantité suffisante d'eau de qualité adéquate est non seulement fondamental pour la vie humaine, mais aussi crucial pour le développement socio-économique et la durabilité environnementale, comme le souligne l'Institut pour l'environnement et la santé de l'Université des Nations Unies (UNU INWEH). Quels facteurs contribuent à la persistance des disparités d'accès entre les pays africains ?
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